Hublot ou couloir ?

Alors je t'ai mal compris. Quoiqu'il en soit ca tombe bien que j'arrête L5R. On ne peut pas être bon partout.

On se recentre sur le débat?

Bah j en suis jamais sortie, ct juste des exemples mais moi j ai répondu au titre lol

Bah disons que les exemples, ça a la fâcheuse tendance à exclure de la discussion ceux qui n'ont pas joué la partie

Nico a écrit:

Bah disons que les exemples, ça a la fâcheuse tendance à exclure de la discussion ceux qui n'ont pas joué la partie

Désolé ct pas le but lol

Djal a écrit:

Nico a écrit:

Bah disons que les exemples, ça a la fâcheuse tendance à exclure de la discussion ceux qui n'ont pas joué la partie

Désolé ct pas le but lol

Je sais, t'inquiète.

Pascal a écrit:

Moi quand je lis ce que dit Djal je comprend que le PJ doit pouvoir faire ce qu'il veut et le MJ s'adapter pour laisser le PJ poursuivre son aventure, adaptant scénar et monde aux souhaits du PJ.

Si ça reste dans les limites que j'ai fixé dans mon post précédant : fun, cohérence, pas trop chronophage (surtout vis à vis des autres joueurs). Sinon c'est niet.

Nous sommes donc d'accord.

Débat toujours intéressant que celui de la maîtrise.

Le truc c'est qu'on peu avoir une campagne bac à sable et des scénarios couloirs. Un exemple de scénario couloir: votre bateau s'est fracassé sur les récilfs d'une île inconnu et vous devez retrouvez un moyen de vous ressortir de l'île. C'est relativement prévisible.

Les campagnes bac à sable (je ne fais que ça...) demande une bonne improvisation, et un cadre solide mais qui peu s'étoffer facilement. La clé, c'est le groupe et le méta-jeux.

-Vous devez indiquer clairement au joueur quel type de campagne vous voulez jouer: par exemple, vous êtes un groupe de personnes des peuples libres qui vont s'associer pour combattre la Main Noire, une association criminelle à l'oeuvre pour des sombres desseins dans le duché de Longuelune. Ou bien un groupe de mercenaires motorisés sans foi ni loi, ne connaissant que les allégeances personnelles ou familiales, prêt à tout pour survivre dans un monde post-apocalyptique.

-Il est bien clair dès le début que tout le monde jouera dans un bon esprit avec un but commun: s'amuser ensemble. Le voleur ne vole pas des affaires d'une personne du groupe, le magicien ne charme pas un membre du groupe. Et les joueurs font un minimum pour ne pas faire exprès de se détourner d'indice intéressant ou d’événement qui doivent intéresser les personnages. Pas de fouineur invétéré qui décide d'aller à la pêche le jour même ou un de ses contacts lui annonce qu'il à quelque chose de très intéressant à lui dire.

Comment ça se passe un bac? Très simple: le MJ imagine un monde ou toute l'histoire est déjà écrite si les joueurs n'interviennent pas. La bataille décisive est perdue par les peuples libres parce que les joueurs n'ont pas retenu une partie de l'armée ennemi en la bloquant à un point particulier facilement défendable, ou en influençant un des lieutenant, etc etc.. Les possibilités sont infinie à ce niveau.

Reste au MJ a réfléchir au conséquences des actions des joueurs sur le bac à sable et à modifier la trame de l'histoire. Bon, évidement, c'est facile à écrire quand on a plus de trente ans de masterisation dans les pattes

Autre chose: le MJ doit être humble: les héros, ce sont les personnages, pas les NPC. On ne s'attache pas au NPC: ils sont les faire-valoir des joueurs. Tant pis s'il meurent: ils ont toujours un frère / Oncle / Lieutenant voulant venger sa mort / sa mise en prison / son bannissement dans un des cercles extérieurs.

Ca dépend des NPC quand même non?

Si j'en crois ton explication, ma campagne L5R était un Bac à Sable et je ne le savais pas.

Un bac a sable c pour les enfants Nan ?

OK je sort

Pascal a écrit:

Ca dépend des NPC quand même non?

Si j'en crois ton explication, ma campagne L5R était un Bac à Sable et je ne le savais pas.

On peu avoir un NPC chéri et sur lequel on a passé du temps, mais on ne doit pas voler les joueurs d'une victoire normalement acquise. Au MJ de faire jouer ses NPC intelligemment Les héros, c'est les joueurs, le but, c'est de s'amuser et pas de régler des problèmes d’ego. C'est pas toujours facile

Djal a écrit:

Un bac a sable c pour les enfants Nan ?

OK je sort

Oui, c'est ce qu'on est au fond.

Gilles a écrit:

Pascal a écrit:

Ca dépend des NPC quand même non?

Si j'en crois ton explication, ma campagne L5R était un Bac à Sable et je ne le savais pas.

On peu avoir un NPC chéri et sur lequel on a passé du temps, mais on ne doit pas voler les joueurs d'une victoire normalement acquise. Au MJ de faire jouer ses NPC intelligemment Les héros, c'est les joueurs, le but, c'est de s'amuser et pas de régler des problèmes d’ego. C'est pas toujours facile

En fait on ne parle pas des mêmes PNJ. Il y a une distinction PNJ Officiel et PNJ non Officiel. Pour moi le PNJ-Off est inamovible, c'est un élément du décors. Pour le PNJ Non-Off, là t'en fait ce que tu veux. Mais d'avoir des PNJ contre lesquels les perso ne peuvent rien faire (au moins au début) , ca fait aussi parti du jeu. Et pour ma part quand je veux m'amuser avec mes PJ je me créé un PNJ qui vit l'aventure avec eux, ok il se peut qu'au final ce soit le sauveur en cas de besoin (expression de mon désir de toute puissance surement ) mais ca m'amuse.

Moi aussi j'ai mes NPC intouchables, mais ils sont du coté des joueurs ou ce sont des inamovibles de l'univers (Gandalf sur les Terre du Milieu, Elrond, Aragorn...) s'il est connu. Je n'ai pas ce genre de scrupule sur des univers que je crée. C'est vrai que ce genre de NPC vous met sur le fil du rasoir, si un joueur se met à faire n'importe quoi.

Le tout, c'est de mettre l'accent sur la cohérence de l'univers. Ca peu aussi aboutir à une fin prématurée de la campagne. Pour être honnête, je réussis a peu prêt une campagne sur deux. C'est très difficile de prévoir si une campagne va réussir ou rater.

Gilles a écrit:

Débat toujours intéressant que celui de la maîtrise.

Le truc c'est qu'on peu avoir une campagne bac à sable et des scénarios couloirs. Un exemple de scénario couloir: votre bateau s'est fracassé sur les récilfs d'une île inconnu et vous devez retrouvez un moyen de vous ressortir de l'île. C'est relativement prévisible.

Les campagnes bac à sable (je ne fais que ça...) demande une bonne improvisation, et un cadre solide mais qui peu s'étoffer facilement. La clé, c'est le groupe et le méta-jeux.

-Vous devez indiquer clairement au joueur quel type de campagne vous voulez jouer: par exemple, vous êtes un groupe de personnes des peuples libres qui vont s'associer pour combattre la Main Noire, une association criminelle à l'oeuvre pour des sombres desseins dans le duché de Longuelune. Ou bien un groupe de mercenaires motorisés sans foi ni loi, ne connaissant que les allégeances personnelles ou familiales, prêt à tout pour survivre dans un monde post-apocalyptique.

-Il est bien clair dès le début que tout le monde jouera dans un bon esprit avec un but commun: s'amuser ensemble. Le voleur ne vole pas des affaires d'une personne du groupe, le magicien ne charme pas un membre du groupe. Et les joueurs font un minimum pour ne pas faire exprès de se détourner d'indice intéressant ou d’événement qui doivent intéresser les personnages. Pas de fouineur invétéré qui décide d'aller à la pêche le jour même ou un de ses contacts lui annonce qu'il à quelque chose de très intéressant à lui dire.

Comment ça se passe un bac? Très simple: le MJ imagine un monde ou toute l'histoire est déjà écrite si les joueurs n'interviennent pas. La bataille décisive est perdue par les peuples libres parce que les joueurs n'ont pas retenu une partie de l'armée ennemi en la bloquant à un point particulier facilement défendable, ou en influençant un des lieutenant, etc etc.. Les possibilités sont infinie à ce niveau.

Reste au MJ a réfléchir au conséquences des actions des joueurs sur le bac à sable et à modifier la trame de l'histoire. Bon, évidement, c'est facile à écrire quand on a plus de trente ans de masterisation dans les pattes

Le Bac à sable est très bien avec un monde près à l’emploi (du genre Vampire, voir même les Royaumes oubliés) ou pour un MJ très bosseur (que je ne suis pas). Pour celui qui crée son monde de A à Z, alors là chapeau, je ne m'imagine même pas commencer à avoir le début de l'idée de le faire. Ce qui laisse les mondes déjà écrits et là le problème c'est que tout le monde peut y avoir accès et les interpréter à sa manière.

Mais pour un PJ avec de l'imagination et de l'ambition, ça doit vraiment être génial. Le jeu auquel j'ai toujours regréer de ne pas avoir jouer, c'est Ambre.