[D&D 3.5] La Main rouge du désastre

cool

olivia a écrit:

C'est quoi le sang près du nombril ?
Elle ne sait pas viser ?

ben ...poui...m'en parle pas...un fumble de Pascal à tous les coups...

le cliché de l'elfe qui sait pas tirer à l'arc... on se croirait dans naheulbeuk

fais gaffe, quand on prend une flèche dans le cul ça énerve...

Je prendrai l'illustration du bouquin, elle colle bien.

olivia a écrit:

ben ...poui...m'en parle pas...un fumble de Pascal à tous les coups...

A me chercher un de ces jour je vais te buter un perso et ce sera pas un fumble.

toi être agressif...restons en la...

Thierry a écrit:

olivia a écrit:

C'est quoi le sang près du nombril ?
Elle ne sait pas viser ?

ben ...poui...m'en parle pas...un pouri d'papis à tous les coups...

Pascal a écrit:

olivia a écrit:

ben ...poui...m'en parle pas...un fumble de Pascal à tous les coups...

A me chercher un de ces jour je vais te buter un perso et ce sera pas un fumble.

de vrais gosses...

@hemmam : ok j'imprime ça tout à l'heure, en même temps que les aides de jeu.

au fait vous voulez jouer jusqu'à quelle heure?
je suis un peu malade mais je pense raisonnablement tenir jusqu'à 1 ou 2 heures du mat. Bien sur, on fera selon les envies et la fatigue de chacun(e)...

Pour le 5/01
Moi ca m'a l'air correct comme horaire.

pour moi pas de soucis...

Pascal a écrit:

Pour le 5/01
Moi ca m'a l'air correct comme horaire.

n'est ce pas ? ^^

Jour 1 : les aventuriers, attirés vers la vallée d'Elsir après avoir découvert des rumeurs concernant l'ouverture d'un portail vers les 9 Enfers, se mettent en quête d'informations dans la région. Nouvellement arrivés du Sud, par la route du Levant, ils sont assaillis par une bande de maraudeurs hobgobelins très organisés et étonnamment bien équipés.

Ayant essuyé plusieurs volées de flèches, les personnages semblent en bien mauvaise posture lorsque débarquent deux Molosses sataniques et un colosse armé de deux glaives acérés.

Le duel s'engage entre ce dernier et le Moine, échange de coups mortels qui semble tourner à l'avantage du valeureux pratiquant des arts martiaux, jusqu'à l'intervention d'un chaman hobgobelin qui referme magiquement les blessures de son chef.

Pendant ce temps, le bretteur du groupe se retrouve en bien mauvaise posture, paralysé par un traître maléfice du chaman, et à la merci des molosses sataniques qui s'en donnent à coeur joie pour le déchiqueter.

c'est alors que le nain jaillit des sous-bois, ses haches encore ensanglantées de son combat avec les soldats embusqués, couvert par les traits meurtriers de l'elfe noire et les décharges magiques du Sorcier, et massacrent méthodiquement le chef ambidextre et son chaman, après voir abattu les chiens de l'enfer.

lorsque le calme revient, nos valeureux héros retrouvent les cadavres d'infortunés voyageurs, et les possessions dérobées par les hobgobelins. Ils ont la surprise de trouver sur le cadavre encore chaud du chaman un symbole religieux identifié par l'elfe noire comme étant celui de Tiamat, Reine infernale des dragons maléfiques. Laissant quelques minutes au nain pour clouer le chef hobgobelin à un arbre, bien en vue de la route, en guise d'avertissement, ils reprennent la route.

Deux heures de marche vers l'est les emmènent alors à travers une paisible mais déserte région agricole, jusqu'aux rives de la rivière Elsir. Là, contemplant les ruines du pont nain démoli par une crue hors norme 12 ans plus tôt, ils sont contraints de montrer patte blanche auprès des nombreux miliciens et de leur sergent, qui gardent l'accès au village fortifié. Une fois assuré des bonnes intentions de nos protagonistes, ils leur permettent d'emprunter le bac de traverse, moyennant péage.


Arrivant dans un bourg d'un millier d'âmes, Brelin-le-bac, nos aventuriers prennent leurs quartiers dans une auberge aussi vaste qu'accueillante, l'Auberge du Vieux Pont, tenue par Kellin Ombresiège, halfelin jovial et sympathique. Après s'être rafraîchis et reposés, ils sont abordés dans la salle commune de l'auberge par le bourgmestre, le seigneur Winston, et la capitaine Soranna de la garde de la ville. Ceux-ci vont droit au but : le bourg est en danger, les fermes des environs et les voyageurs subissant les assauts meurtriers de bandes de hobgobelins depuis plusieurs semaines. Ils soupçonnent que les créatures s'abritent dans le bois-aux-sorcières, peut-être dans le fort en ruine qui borde la route commerciale. Ils proposent 500 pièces d'or de rétribution au groupe s'ils acceptent de se charger du problème. Winston leur indique un guide pour les emmener au plus profond de la forêt, tandis que la capitaine se charge de requérir l'aide du temple de Lathandre afin de recueillir quelques potions magiques à destination des personnages. L'affaire est vite conclue, et il est décidé que les personnages partiront à l'aube.

Jour 2
Après un solide repas, une visite à la forge et une bonne nuit de sommeil dans des chambres exiguës mais confortables, l'équipe part pour le bois-aux-sorcières.

Le Bois aux sorcières
Un détour par un point surélevé en bordure de la forêt, le long d'une sente de forestier, leur permet de rencontrer Jorr, un bûcheron bourru aux airs d'ermite, vivant seul avec ses trois chiens de garde, aussi méfiants que massifs. Ayant apaisé l'agressivité des mâtins par quelques paroles et gestes maîtrisés, le rôdeur nain engage alors la conversation avec le forestier. L'équipe le convainc, moyennant salaire, de les accompagner à travers bois jusqu'au Fort Vraath, en plein coeur de la forêt. La route étant surveillée par les hobgobelins et leurs cavaliers worgs, il est décidé d'un commun accord de couper à travers bois.

Après deux heures de randonnée fatigante à travers les sous-bois, nos voyageurs se retrouvent obligés de longer la Rivière Noire, affluente de la rivière Elsir, vers l'ouest afin de trouver un gué. Pataugeant dans les marécages, assaillis par les moustiques alors que le soleil monte dans le ciel, la chaleur et l'humidité rendant l'air moite et étouffant, ils arrivent en vue du gué, un simple pont de bois qui enjambe la rivière gonflée par les fontes de glace au printemps, mais déchantent rapidement.
Une créature reptilienne, partiellement immergée dans l'eau, semble dormir, la tête posée sur le pont, prenant le soleil. D'une taille respectable, et probablement capable de couper un cheval en deux avec ses mâchoires, il semble peu sage de la provoquer.
Alors que l'elfe, puis le nain, bon nageurs, tentent de traverser la rivière malgré le courant afin de rejoindre la rive nord en évitant la créature, le sorcier utilise ses pouvoirs mystiques afin de ramper sous le tablier du pont, adhérant à la surface comme une araignée. Le bretteur et le moine, eux, faisant patte de velours, se faufilent adroitement au nez et à la barbe de la créature, sur le pont.

Tout semblait se dérouler admirablement bien, lorsque l'une des lattes de bois se mit à grincer atrocement sous la botte du bretteur. Un horrible silence s'ensuivit, alors que tout le monde se pétrifia d'angoisse, et soudain la créature ouvrit un oeil verdâtre à l'iris fendu, pour observer froidement le sourire gêné du bretteur planté devant lui. Le sorcier, sentant la catastrophe, se hâta alors de rejoindre l'autre rive, juste à temps. Soudain, l'eau explosa, lorsque les cinq autres têtes de la créature émergèrent : une Hydre!

Se dressant subitement au dessus du pont, le monstre attaque à la vitesse de l'éclair le bretteur et le moine ; les nombreuse morsures eurent presque raison du bretteur, en proie aux assauts de trois gueules, tandis que le moine esquivait adroitement toutes les attaques de la créature, et ripostait à coups redoublés, avec un certain succès. Aidé par le bretteur, puis par les flèches de l'elfe qui trouvent aisément leur chemin à travers les épaisses écailles, il arrive alors à repousser la créature vers la rive, qui s'en pris alors au sorcier. Ce dernier foudroya alors la créature de sa puissance magique, explosant sa cage thoracique et lui calcinant le coeur. C'est alors que l'hydre expirait, que le nain trempé émergeait des eaux sombres de la rivière qui l'avaient emporté plus loin, un peu honteux de n'avoir pu aider ses camarades.

L'elfe noire replongea alors sous le pont ayant aperçu les restes d'un chariot ayant basculé dans l'eau. Elle en extirpa une magnifique cuirasse de mithril quelle s'accapara immédiatement, avec l'accord de ses camarades.

Ils reprirent leur chemin vers le nord, pendant de longues heures. Leur voyage ne fut troublé que par une rencontre malheureuse avec un couple d'Ourshiboux, en train de festoyer d'un hobgobelin encore chaud, et forts mécontents d'avoir été dérangés. S'en suivit une course éperdue à travers une bonne partie du bois, aussi peu glorieuse que pathétique.

Ayant semé leurs monstrueux poursuivants, heureusement lents et patauds, les mercenaires se rendirent, alors que le jour tombait, aux abords du fort en ruine.

Le Fort Vraath

une approche aussi lente que prudente, grandement aidée par le fidèle compagnon du rôdeur, un énorme rat aussi furtif que sale, démontra aux aventuriers que le fort était habité par un dizaine de créatures, éparpillées dans les différents bâtiments ; deux cavaliers gobelins et leurs montures worgs, bien au chaud dans les anciennes écuries. Une créature monstrueuse, lion à l'épine dorsale hérissée de pointes, ainsi que la queue, et dotée d'ailes membraneuses, pour le moment assoupie sur son trésor : une hideuse Manticore! Enfin, dans le corps principal, un baraquement, quatre vétérans hobgobelins en train de se reposer sur leurs paillasses, et une créature massive non identifiée.



Entreprenant l'ascension périlleuse de la tour sud du fort, l'elfe noire pourtant aidée du sorcier (bénéficiant toujours de ses enchantements lui permettant de grimper sur toutes les surfaces comme un insecte) dérapa soudain sur la surface irrégulière et délogea une pierre branlante de l'édifice qui alla s'écraser en contrebas. Alertés par ce bruit suspect, les hobgobelins s'armèrent à la hâte avant de sortir inspecter les remparts extérieurs. Après plusieurs minutes d'une ronde attentive et minutieuse, ne trouvant pas âme qui vive (les deux grimpeurs ayant eu le temps de se réfugier sur le sommet de la tour, invisibles derrière les créneaux), les créatures décidèrent de rentrer se recoucher, attendant la venue de la nuit pour sortir.

Le bretteur escalada le mur nord afin de pénétrer dans l'enceinte discrètement, tandis que le nain et le moine s'engouffrèrent discrètement par des brèches dans les murs sud et est.
Prenant soin de ne pas déranger la manticore, nos courageux guerriers s'approchèrent à pas de loup des deux portes du baraquement, attirant alors deux hobgobelins à l'extérieur. Ceux-ci, malgré leur prudence et leur méfiance, n'eurent aucune chance face aux coups meurtriers assénés vicieusement depuis les ombres de la nuit tombante par le bretteur et le rôdeur. S'étant promptement débarrassés des deux premiers adversaires qui ne purent même pas se défendre, le nain, et le moine se jetèrent à l'assaut des hobgobelins restant dans les baraquements, tandis que le Minotaure, qui dormait jusque là, se précipita à l'intérieur de la tour sud avant de barrer la porte.

Alertés par les bruits de combat et les cris de l'infortuné hobgobelin survivant, interrompus par une flèche adroitement plantée entre les omoplates par l'elfe noire postée au sommet de la tour, les gobelins et les chiens worg surgirent des écuries. Notre brave épéiste, couvert par les flèches de l'elfe et les décharges magiques du sorcier, entreprit alors de retenir les créatures dans la cour. Malheureusement, l'un des chiens, blessé à mort par un coup d'épée décoché à la vitesse de l'éclair, réussit à attraper la jambe du combattant avec sa gueule et de le faire chuter, en profitant alors pour le mordre sauvagement. Il fut finalement abattu par les efforts conjugués de l'elfe et du sorcier, permettant au bretteur de se relever et d'aider ses camarades à combattre les cavaliers gobelins.

Le combat fut vite expédié, et le calme revint lorsque le dernier gobelin fut acculé contre le mur sud ; celui-ci se savant condamné, il rendit les armes. Mais les combattants s'étaient trop approchés de la Manticore, qui ne portait jusque-là étonnamment aucun intérêt au combat, qui montra les crocs. Le gobelin profita de la frayeur inspirée par la créature pour s'échapper vers l'extérieur. Son espoir de liberté et de survie fut brutalement réduit à néant lorsque sa tête rencontra la hache du nain.

alors que le silence retombait sur le fort, les aventuriers regroupés dans le baraquement entreprirent de fouiller les affaires des hobgobelins, lorsque la porte de la tour sud fut débarrée et ouverte à la volée depuis l'intérieur. Le minotaure, furieux, chargea alors le nain et l'encorna violemment contre le mur, arrachant un flot de sang aux tripes de ce dernier. L'infortuné combattant fut sauvagement achevé de deux coups de la hache monstrueuse du minotaure, avant de se tourner vers ses autres adversaires. C'est alors que le chef de la troupe, un sorcier hobgobelin armé d'une monstrueuse Morgenstern et d'une baguette d'aspect inquiétant, entra en scène.

De quelques puissants maléfices, il aveugla le moine, réduit à frapper à l'aveuglette et à faire reposer sa survie sur ses instincts très développés. Puis, le sorcier s'en prit au bretteur, qu'il frappa d'un rayon débilitant, sapant les forces de ce dernier. Pendant que les héros survivant s'acharnaient sur le minotaure, assénant un déluge de coups, de magie, et de flèches pour terrasser le monstre, le bretteur poursuivit le sorcier qui reculait dans sa tour. Par une acrobatie incroyable, il esquiva un éclair de foudre lancé par le sorcier, qui atteint alors de plein fouet l'elfe noire. Grièvement blessée, celle-ci continua néanmoins à arroser copieusement le minotaure et le sorcier de ses traits mortels.

Essuyant décharge magique sur décharge magique, l'épéiste désespéré, mortellement blessé, saisit alors la couverture crasseuse traînant sur le lit voisin, pour la jeter au visage du sorcier pris au dépourvu. Alors que notre combattant s'écroulait au sol, abattu par les maléfices de son ennemi, le moine, aveuglé mais combatif, entreprit de rouer de coups le sorcier empêtré dans le tissu. Enfin, un trait de bois et d'acier enchanté traversa toute la pièce, passa l'encadrement de la porte, pour venir se planter dans le coeur du Hobgobelin, qui s'écroula dans un râle d'agonie.

Après avoir fouillé le bâtiment, et dépouillé leurs infortunés adversaires de leurs possessions magiques, ils entreprirent de soigner le nain mourant et le bretteur, les sauvant de justesse. Laissant le moine au soins de Jorr, leur guide, ils ouvrirent la trappe dissimulée ouvrant l'accès à la cache souterraine de la forteresse. Là, entre humidité et obscurité ils trouvèrent le trésor de guerre d'Amaury Vraath, le dernier propriétaire de la forteresse, ainsi que le cadavre depuis longtemps desséché de ce dernier.

C'est alors qu'une silhouette fantomatique apparut : Amaury Vraath lui-même.

Il entreprit alors d'expliquer aux personnages son histoire, et entreprit de les convaincre de l'aider. Si les héros daignaient utiliser son sceptre de Vie, enfermé dans le coffre proche, afin de le ramener à la vie, il était prêt à les aider dans leur mission, de protéger et de sauver les populations du val d'Elsir. Après avoir appris de Jorr un certain nombre d'informations sur l'histoire de Vraath, s'en suivit un long débat puis un vote entre les aventuriers, prudents, qui finirent par décider d'utiliser le sceptre pour ramener Amaury. Le sorcier invoqua alors ses pouvoirs mystiques afin d'utiliser les enchantements du sceptre pour rappeler l'âme de Vraath et ré-insuffler la vie à sa dépouille.
Le miracle s'accomplit, et c'est un Amaury frissonnant et prostré au sol, transi de froid, dont ils prirent soin avant de dormir dans le baraquement pour le reste de la nuit.

Jour 3
Retour à Brelin-le-bac

Après un voyage de retour sans histoires, les personnages s'en allèrent au temple de Lathandre faire soigner la cécité du Moine, où un échange assez vif entre l'Aubemestre et l'elfe noire agaça profondément Amaury, qui quitta les lieux.

Les aventuriers s'en allèrent alors trouver le capitaine Soranna Anitah et le bourgmestre Wiston,

et entreprirent de leur narrer leur expédition. Le soulagement éprouvé par les deux notables tourna à la consternation lorsque le rôdeur nain leur fit part d'une sinistre nouvelle. Cette force dispersée de hobgobelins n'est que l'avant garde d'une vaste armée qui va déferler sur le Val par le nord-ouest dans quelques jours...

Il fut alors décidé de réunir le conseil des notables de la ville, à la tombée de la nuit, laissant le temps au nain (qui lit le gobelin utilisé par Koth) et à Amaury (qui lit le dialecte Infernal utilisé par les servants de Tiamat) de décrypter les notes et la carte du sorcier hobgobelin, le Vouivremestre Koth, l'un des généraux de la Main Rouge, celui-là même qui fut abattu la veille par nos héros.


bilan de la séance

XP : 4250 par personnage (prochain niveau dans 750 XP)

Trésor : 4500 po environ en pièces d'or et d'argent et bijoux
2 épées courtes +1 (une vendue, l'autre conservée) [1d6+1, +1 toucher]
1 épée longue de maître (pour Akordia l'elfe noire) [1d8, +1 toucher]
1 chemise de maille en mithril +1 (pour le sorcier Corbeau) [CA +5, Dex max +6, pénalité 0]
1 cuirasse en mithril +1 (pour l'elfe noire) [CA +6, Dex max +5, pénalité -1]
1 armure à bandes +1 (revendue)
2 armures de cuir cloutée +1 taille petite
1 armure de cuir cloutée +1 (revendue)
1 brouette d'épées de maître (revendues)
potions : vol (5), liberté de mouvement (5), force (5), 2 élixirs de vérité, 10 soins modérés (4)
parchemins : Monture (7)
baguette de projectile magique (5), 12 charges
Sceptre de Vie (13), 2 charges
Gantelet de force des Ogres (Amaury) [+2 en Force]
Morgenstern +1 de givre (Amaury) [1d8+1, +1 au toucher, +1d6 de dégâts de froid]
Sac de contenance (type I) [125 kg max, 4,5kg de poids apparent]

achats ou échanges :
1 écu +1 (pour Grunth, le rôdeur) [CA +3, pénalité -1]
1 brassée de de flèches +1 (pour l'elfe noire) [+1 toucher et dégâts]
1 cuirasse +1 (pour le bretteur) [CA +6, Dex Max +3, pénalité -3]
1 cuirasse de maître (pour amaury) [CA +5, Dex Max +3, pénalité -3]
1 écu de maître (pour amaury) [CA +2, pénalité -1]

Je me demande bien qui a voté contre le retour du Sieur Amaury, manifestement le mec qui a les moyen de sauver le Val.

Pascal a écrit:

Je me demande bien qui a voté contre le retour du Sieur Amaury, manifestement le mec qui a les moyen de sauver le Val.

moyen moyen !
Il semble les avoir perdus, tous ses moyens !

Je sais pas... On verra quand je vous rejoindrais si on arrive à lui redonner des moyen, mais il m'a l'air d'un mage puissant ce gars

moi, ce que j'en dis, c'est que tout le monde a pu gagner ou acheter quelque chose, souvent d'une valeur de 3000 à 5000 po, et que vous avez refusé au moine de dépenser 4500 po pour acheter une bague de protection +2 qui lui serait particulièrement utile vu qu'il ne porte pas d'armure magique... Corbeau en particulier s'est montré très radin sur ce coup-là !! Je ne trouve pas ça très juste, mais ça n'engage que moi

je crois qu'il y a méprise...la bague étais pour Corbeau(Hemmam) si je me souviens bien...
mais je sais plus qui à dis non...

c dommage François que tu nous à pas monter les jolies images des monstres pendant le jeu...

en tout cas c un bon résumé de l'histoire bravos François...

un Moine aveugle (qui passe 50% du scénario chez le docteur)
un Sorcier vilain héros (qui à pas eu sa bague)
un Rôdeur moins discret qu'une fanfare (qui souffre de paranoïa)
un Bretteur qui à la poisse (plus que Pierre Richard c dire...)
une elfe noir qui se prend pour une paladin et qui sauve tous le monde à la fin
(bon ça c dans 90% des scénarios que je joue, je fait trop des bon jet de dés)

bref...nous somme des vrai héros... (sauf Corbeau qui veux être un vilain)