[INS/MV] Campagne (P.1) - La pendule de Jean-Pierre Foucault

Nico a écrit:

Je me dirige résolument vers l'escalier (autant faire croire qu'on ne va pas au même endroit) et me farcit les huit étages en marchant normalement, et en saluant sobrement quiconque je pourrais croiser.

Moi je prend l'ascenseur, on se retrouve en haut donc. Dans l'attente: observation du palier, de la porte de l'appartement de la victime, et j'attend le serrurier pour rentrer (il monte l'escalier).

Ceux qui montent (pour le moment) [Jacques, Espéré, et ?] : vous vous retrouvez au 8e palier ; 6 appartements, dont celui de Laurent. Vous sentez des odeurs de cuisine africaine ou indienne, et entendez occasionnellement un peu de bruit, des éclats de voix, des bribes de conversation à voix haute ou de TV. Le couloir est terne et assez mal éclairé ; les ampoules sont toutes opérationnelles mais en fin de vie.
Voilà à quoi ressemble la porte de l'appartement :

Donc nul besoin de serrurier ! en revanche il y a des scellés de police en travers de l'encadrement. Une odeur écœurante   vous prend au nez quand vous approchez du seuil.
L'appartement de Laurent Laboissière est un studio moderne totalement sinistre, style célibataire pauvre et crade. Des traces de craie à l'endroit où on a retrouvé le cadavre, avec plein de sang coagulé. Vous imaginez : se faire décapiter puis couper en deux (la silhouette au sol est en trois morceaux), ça a du saigner.

Que faites-vous ?

En bas de l'immeuble (votre réflexion:) …Et où est passé Alison ?! Bordel…

[Timothée] - les enfants : "On a vu la police hier matin, ils posaient des questions à la concierge, et puis aussi aux voisins" "Ouais, ma tante ils l'ont saoulée avec leurs questions, de toute façon elle dormait, ça s'est passé la nuit!" "Il paraît que le gars, il s'est fait défoncer façon Highlander!" "Mais t'es très con, toi! T'as vu des éclairs ? Non alors ta gueule!". Quand tu abordes le sujet des témoins, tu as moins de succès. N'empêche, l'un des plus grands te dit :"Je crois que c'est un pote de M. Dubout, le connard de la DDASS. Je le vois souvent venir ici."

[Damien]Tu passes un court moment à inspecter les alentours, discrètement. [résultats des dés ?]

"J'ai entendu dire que les types de la DDASS revendent les enfants comme esclaves à l'étranger. Si je savais où il habitait j'irai lui crever ses pneus !"

Autant que possible j'essaie de savoir où habite Dubout en prétextant une opération punitive, si je parviens à obtenir d'autres informations sur lui je prends.

Citation :

Il y a eu effraction : la serrure de la porte d'entrée était cassée, la porte entrouverte.

Je m'en souvenais, et la présence de scellés ne me surprend pas. Au moins, qu'ils n'aient pas déjà été forcés montre que nous n'avons pas été devancés.
Je mets mes gants de cuir (qui font partie de ma panoplie de goth et sont toujours dans ma poche) et arrache les scellés sans ménagement... bon, en essayant de faire le moins de bruit possible tout de même ; et j'entre. Ah, avant, je tente une Psychométrie sur la poignée de porte (extérieure puis intérieure).

Matthieu a écrit:

"J'ai entendu dire que les types de la DDASS revendent les enfants comme esclaves à l'étranger. Si je savais où il habitait j'irai lui crever ses pneus !"
Autant que possible j'essaie de savoir où habite Dubout en prétextant une opération punitive, si je parviens à obtenir d'autres informations sur lui je prends.

On t'indique son immeuble, un peu plus bas dans la rue. Apparemment, ce serait lui qui aurait découvert le corps. Tu n'obtiens pas beaucoup plus d'informations valables, au milieu des bavardages des enfants.

Nico a écrit:

Citation :

Il y a eu effraction : la serrure de la porte d'entrée était cassée, la porte entrouverte.

Je m'en souvenais, et la présence de scellés ne me surprend pas. Au moins, qu'ils n'aient pas déjà été forcés montre que nous n'avons pas été devancés.
Je mets mes gants de cuir (qui font partie de ma panoplie de goth et sont toujours dans ma poche) et arrache les scellés sans ménagement... bon, en essayant de faire le moins de bruit possible tout de même ; et j'entre. Ah, avant, je tente une Psychométrie sur la poignée de porte (extérieure puis intérieure).

[1PP pour usage de Psychométrie ; tu fais un test de pouvoir et tu me donnes le résultat, je t'indique les effets par MP.]

Details:[3d6 (1 2 2)]

Details:[3d6 (2 6 3)]
Ca fait 2 pour la poignée extérieure et 3 pour l'intérieure (et 2PP dépensés).

Voyant qu'il n'y a plus rien à obtenir des enfants, Timothé les salue et monte rejoindre ses camarades.

- On dirait qu'il va falloir causer à Jean Dubout et peut-être lui mettre des tartes... et pas forcément dans cet ordre...

Je continue la visite de l'appartement en usant et abusant de le psychométrie (je me ressourcerai ce soir pendant le concert d'Aggressive Agricultor). Le plumard, 1pt ; le rideau de douche, 1pt ; la télé, 1pt.
Details:[3d6 (5 4 2)]
Details:[3d6 (2 2 4)]
Details:[3d6 (1 3 4)]

Matthieu a écrit:

Voyant qu'il n'y a plus rien à obtenir des enfants, Timothé les salue et monte rejoindre ses camarades.

Le facteur est parti ; la concierge est rentrée dans son local. Tu montes sans être dérangé.

Nico a écrit:

- On dirait qu'il va falloir causer à Jean Dubout et peut-être lui mettre des tartes... et pas forcément dans cet ordre...

Je continue la visite de l'appartement en usant et abusant de le psychométrie (je me ressourcerai ce soir pendant le concert d'Aggressive Agricultor). Le plumard, 1pt ; le rideau de douche, 1pt ; la télé, 1pt.
Details:[3d6 (5 4 2)]
Details:[3d6 (2 2 4)]
Details:[3d6 (1 3 4)]

Alors, avant de brûler tes PP, je te propose un arrêt sur image et une courte description du logement, vu que tu rentres à l'intérieur après ton examen de la porte.

L'appart est sale, pas rangé. Des cartons à pizza entassés dans un coin, des emballages de grec plein la poubelle, des canettes de Kro et de Coca... Le canapé est d'un beige douteux, une TV de quelques années posée sur un banc TV en bois de chez But, une Playstation avec deux manettes et qqes jeux (il semble affectionner les jeux gores ou violents : Carmaggeddon, Resident Evil, Battle Arena Toshiden...). De rares meubles. Un téléphone, le bottin, quelques journaux. Une armoire normande détonne un peu, au fond de la chambre. Elle est d'ailleurs recouverte de scellés. Laurent semble amateur de littérature américaine : Playboy, Hustler, Penthouse...
La décoration ? Inexistante, à l'exception de quelques posters de filles en bikini, et aussi une collection d'épées au mur du salon. Pas de vraies épées d'artisan, non ; plutôt des reproduction en fer blanc ou en acier de mauvaise qualité, achetées par catalogue ou dans des magasins de répliques d'armes médiévales ou orientales. Tiens, il en manque une...

Je me dirige vers l'armoire normande et arraché les scellés.

Voyons ce que notre victime cachait dans cette armoire pour que les flics s'y intéressent.

Je ne vais donc faire que deux autres Psychométries : sur la manette du joueur 2, et sur le support sur lequel était censée reposer la poignée de l'épée manquante. (tu prends les 2 premiers jets d'hier ou tu veux que je relance ?)

Nico a écrit:

Je ne vais donc faire que deux autres Psychométries : sur la manette du joueur 2, et sur le support sur lequel était censée reposer la poignée de l'épée manquante. (tu prends les 2 premiers jets d'hier ou tu veux que je relance ?)

[garde-les ; je t'envoie les résultats par MP. 2PP consommés, donc 4 au total.]

Olivier a écrit:

Je me dirige vers l'armoire normande et arraché les scellés.

Voyons ce que notre victime cachait dans cette armoire pour que les flics s'y intéressent.

Après ta courte observation en bas, tu rejoins donc tes camarades ; Espéré, muni de gant, inspecte précautionneusement et méthodiquement la porte, puis le salon. Toi, dans la chambre, arrache donc les scellés, pendant que Jacques fouille de son côté. Timothée regarde tout ça, intrigué, en se fourrant un doigt dans le nez.

Tu t'attendais à tout, donc à rien en particulier, mais certainement pas à ça : l'armoire a été aménagée, sans étagère ni tiroirs. Des chaînes d'acier avec des menottes ont été solidement fixées à l'intérieur. Du sang sec en quantité variable recouvre ces dernières, ainsi que le fond de l'armoire. Ca a l'air d'avoir servi un certain temps.

Un cri bref et un bruit sourd venant du salon t'arrachent à tes réflexions : Espéré vient de s'étaler de tout son long, à plat ventre sur le dos sur le tapis. Il a l'air sonné.

François a écrit:

Après ta courte observation en bas, tu rejoins donc tes camarades ; Espéré, muni de gant, inspecte précautionneusement et méthodiquement la porte, puis le salon. Toi, dans la chambre, arrache donc les scellés, pendant que Jacques fouille de son côté. Timothée regarde tout ça, intrigué, en se fourrant un doigt dans le nez.

(Besoin d'un test de mes fabuleux (d'aucun dirait démoniaques) talents de fouille-merde d'enquèteur? Je pensais de toute façon tout examiner en détails.)

Jacques dégaine son calepin (qui fait désormais sa renommée) et commence à tout examiner de prêt en prenant des notes de temps en temps. Il délaisse ses coéquipiers pour aller examiner (le cœur de la maison!) la cuisine des aérations au carrelage et passe ensuite à la chambre. Pour le moment il laisse ses nouveaux amis s'amuser dans le salon / scène de crime.

Timothé se penche pour regarder Espéré étalé de tout son long sans pour autant esquissé le moindre geste pour l'aider.

"Bah alors pourquoi t'as crié comme ça ? On croirait que t'as vu la vierge (ou un ange)".

*Qu'est-ce qu'il me veut le mioche? Il veut ma main dans... ah non c'est Orchus*

D'abord je passe péniblement de la position allongée à la position assise, puis je regarde ma main comme si je ne l'avais jamais vue.
- Par les amygdales d'Haagenti !
Ensuite j'ai l'idée de me relever, mais je la trouve mauvaise. Je montre le support de l'épée manquante et souffle à voix basse :
- Ce bout de ferraille, là... il a été touché par un être de grand pouvoir... oui OK, avec moi à l'instant ça fait deux... la puissance de sa colère... j'aimerais pas lui refuser une priorité...
Me rendant compte que je murmure, je me tourne vers les autres.
- Dites voir... en me ramassant telle une banane trop mûre fuyant l'ancien régime, j'aurais pas fait un peu de barouf ?

Pascal a écrit:

(Besoin d'un test de mes fabuleux (d'aucun dirait démoniaques) talents de fouille-merde d'enquèteur? Je pensais de toute façon tout examiner en détails.)

Jacques dégaine son calepin (qui fait désormais sa renommée) et commence à tout examiner de prêt en prenant des notes de temps en temps. Il délaisse ses coéquipiers pour aller examiner (le cœur de la maison!) la cuisine des aérations au carrelage et passe ensuite à la chambre. Pour le moment il laisse ses nouveaux amis s'amuser dans le salon / scène de crime.

[un test d'enquête, s'il te plaît ]

"Si par barouf tu entends "hurler comme un syndicaliste devant une pénurie de merguez" alors la réponse est oui, tu as fait un sacré barouf" répondit Orchus d'un ton nonchalant à son compagnon qui continuait à tenir le parquet.
"Cependant tu nous parlais d'un grand pouvoir... Tu peux nous en dire plus? En commençant, par exemple, en nous disant si c'est un grand pouvoir qui vient de chez nous ou si ça vient du camp d'en face?"

Nico a écrit:

- J'ai pris une châtaigne de 5000 volts, pas eu le temps de comprendre si c'était du courant continu ou alternatif... c'était de la Fureur avec un grand Fur, c'est tout ce que je peux dire. Bon, s'il faut qu'on décampe, y en a pas un qui m'aiderait à me relever ?

[On va attendre la résolution/réaction de Pascal et d'Olivier avant de finir la scène].

Nico a écrit:

Bon, s'il faut qu'on décampe, y en a pas un qui m'aiderait à me relever ?

Après avoir constaté que ce n'était rien de grave, avec un air un peu dédaigneux et vaguement amusé, je retourne à mon armoire normand pour analyser un peu plus en détail ce que je vois.

Il nous prend pour qui le Furfur ? des bons samaritains ?

Si j’additionne 2 et 2, et je suis super fort en mathématiques, j'en conclue que nous avons là un sacré pu**** de pervers qui viens de se faire coupé en ... 4 ? par un être de grande puissance pour qui la justice semble être une vertus importante.

Frustrant également l'espoir d'Espéré de recevoir une main secourable, Orchus s'adresse à Leystat:
"D'après les mômes du quartier, la victime avait un pote qui passait régulièrement le voir, un certain monsieur Dubout qui, incidemment, travaillerai à la DDASS. Vu les chaînes ensanglanté et la taille de la" cellule " je parierais que les victimes n'étaient pas très âgées..."

Un peu vexé, je finis par me remettre debout tout seul comme un grand, et vais jeter un coup d'oeil à cette armoire objet de tant de supputations.
- Wow ! En vlà un qui doit pas être au paradis à l'heure qu'il est...