[INS/MV] Campagne (P.1) - La pendule de Jean-Pierre Foucault

Steph a écrit:

- Pourtant il y a un cas documenté de suicide par 3 coups de couteaux dans le dos, donc je pense qu'il ne faut pas fermer cette hypothèse simplement parce qu'elle nous semble improbable !

Jacques lève un sourcil, dubitatif, puis replonge dans ses notes écrivant frénétiquement. Il ne cesse de jeter de petit coup d'œil à droite à gauche, semblant en pleine observation du lieu et de ses occupants...

Nico a écrit:

- OK, ne fermons aucune hypothèse : ni celle-là, ni celle d'un numéro d'illusionniste qui aurait foiré, ni celle d'une mort naturelle parce qu'en fait le mec serait né sans tête et aurait vécu ainsi pendant 32 ans (hypothèse qu'un simple coup d'oeil sur sa carte d'identité suffirait à confirmer). Dans tous les cas va falloir aller voir ; et je ne peux pas y aller comme ça, faut que je fasse un crochet par chez moi pour me changer et récupérer une ou deux bricoles utiles ; j'en ai pas pour longtemps, on peut être sur place à 11 heures grand max.
"Cela vous étonnerait beaucoup que nous soyons les seuls sur le coup", m'dame ? Ca ne veut quand même pas dire qu'on va faire la course avec une autre bande de démons malencontreusement envoyés sur la même piste ? Donc ça veut dire que le risque de croiser de l'emplumé est élevé, ou vous pensez à autre chose ?

Ayant suivi votre échange d'un air à la fois fasciné et incrédule, elle prend une seconde avant de se concentrer sur ta question et de te répondre :
"Il est certain que les contacts de ceux d'en face dans les forces de police ne manqueront pas de les alerter d'une mort suspecte, si ce n'est déjà fait. Heureusement, la flicaille n'est pas connue ici pour sa diligence, alors je gage sur une avance de quelques heures, au mieux."

"Vous voilà dûment prévenus, je pense qu'on a fait le tour de la question." Elle replie soigneusement sa serviette de table, et la pose à côté de sa tasse en porcelaine fine, avant de se lever. "Vous pourrez me trouver ici du lundi au vendredi, entre 8h20 et 8h35 précises. En cas de nécessité absolue et immédiate, appelez ce numéro." dit-elle en laissant une carte de visite, d'un beige très ordinaire et probablement bon marché, sur la table. Elle prend alors le chemin de la sortie, à pas rapide, vers le hall de la gare. Vous notez que le serveur à l'entrée lui adresse un bref hochement de tête respectueux lorsqu'elle passe devant lui.

[Note du MJ : je vous laisse échanger librement entre vous afin de préparer la suite de vos actions. Une fois que tout le monde aura expliqué (brièvement ) ce qu'il compte faire, nous passerons à la scène suivante.]

Profitant de la distraction causée par le départ de Monique, Timothé se lève discrètement de table et va voir, à l'une des tables voisines, la dame ayant l'air le plus maternel et le plus hystérique possible.
"Excusez moi de vous déranger madame", bredouille Timothé de sa voix la plus pathétique "mais le monsieur il m'a pris ma culotte, il l'a mise dans sa poche et il veut pas me la rendre et en plus il m'a... Il m'a... " dit il avant d'éclater en sanglots en désignant bien entendu son charmant tuteur.

Suicide, meurtre ? Moi je trouve qu'on écarte un peu trop vite la thèse de l'accident.

Leystat range son livre d'Anne Rice dans sa sacoche avec un air nostalgique.

Par contre, j'aimerai qu'on y aille tout de suite. Si on a que quelques heures d'avance, autant ne pas les gâcher ?! Et puis rendez lui sa culotte qu'il arrête de chialer !

- Bien, je passe chez moi vite fait et je prends le premier train à Saint-Lazare. On peut se retrouver à la gare de Mantes-la-Jolie dans... une heure et demie si les transports merdent pas. Ca vous va ? Y en a parmi vous qui vont y aller en caisse ?
Je me beurre vite fait une dernière tartine et me dirige vers la sortie, sans un regard pour la tentative de psychodrame en cours.

Matthieu a écrit:

Profitant de la distraction causée par le départ de Monique, Timothé se lève discrètement de table et va voir, à l'une des tables voisines, la dame ayant l'air le plus maternel et le plus hystérique possible.
"Excusez moi de vous déranger madame", bredouille Timothé de sa voix la plus pathétique "mais le monsieur il m'a pris ma culotte, il l'a mise dans sa poche et il veut pas me la rendre et en plus il m'a... Il m'a... " dit il avant d'éclater en sanglots en désignant bien entendu son charmant tuteur.

[Un jet de Baratin dans le chan Discord ?] la MR est secrète...

François a écrit:

Matthieu a écrit:

Profitant de la distraction causée par le départ de Monique, Timothé se lève discrètement de table et va voir, à l'une des tables voisines, la dame ayant l'air le plus maternel et le plus hystérique possible.
"Excusez moi de vous déranger madame", bredouille Timothé de sa voix la plus pathétique "mais le monsieur il m'a pris ma culotte, il l'a mise dans sa poche et il veut pas me la rendre et en plus il m'a... Il m'a... " dit il avant d'éclater en sanglots en désignant bien entendu son charmant tuteur.

[Un jet de Baratin dans le chan Discord ?] la MR est secrète...

# 9
Details:[3d6 (4 3 2)]

Avec 3 en baratin ça me fait un score de 5. Après je sais pas si mon score de présence élevé aide.

Jacques referme son carnet de note d'un claquement sec après le départ de Monique et avec un grand sourire satisfait:
- Elle va peut être devoir aller prendre son p'tit dej ailleurs pendant quelques temps la Donzelle, vu les infractions que j'ai relevé, on va revenir avec des collègues et ca sent la fermeture administrative. (Petit rire sadique intérieur d'auto satisfaction).
- Mais je ne me suis pas présenté, (tendant la main à chacun) actuellement je suis Jacques Martin, ... rien à voir, et je suis Inspecteur de la DGCCRF ... pour le moment ... mais j'espère bien devenir inspecteur principal dans peu de temps. Mon autre boulot consiste à servir Andromalius, et mon nom est Al-Ber. On m'a également collé la responsabilité de Timothée/Orchus, mais je ne sais pas vraiment pourquoi...( Al-Ber se tourne en regardant un peu partout à la recherche de Orchus) ... mais il est ou ce p'tit con... ( et le voyant à la table d'à coté...)

D'une voix pleine d'amour paternel et avec un sourire amical:
- Timothée mon petit, vient finir ton petit déjeuner tu vas être en retard à l'école... et cesse donc d'importuner cette gentille dame... allons allons revient t'assoir, nos amis vont bientôt partir et tu vas encore pleurer que tu n'auras pas passer de temps avec eux avant l'école ... ( s'adressant aux autres en aparthé à voix basse)... méfiez vous du p'tit merdeux, il n'a pas l'air comme ça mais il est fourbe, toujours à faire des conneries et attirer l'attention sur nous. La discrétion c'est pas son fort...

- Bon alors, on fonce à Mantes? c'est quoi la mission déjà? j'étais un peu occupé pendant que la brunette racontait sa vie ... encore une mission de merde pour aller torcher le cul à 2 types qui se prennent pour Highlander, ... je pari que quand on chopera celui qui est encore en vie il nous dira s'appeler Duncan Macleod. amusant cette série, vous connaissez? ... (baissant le voix et faisant un geste laissant deviner l'arrivée d'une confidence) on m'a dit que c'était Laurent qui réglait les combats à l'épée sur cette série, mais il ne faut pas le dire car il ne voudrait pas que cela s'ebruite, pour ne pas voir débarquer une tripoté de jeunes emplumés venus lui lécher le cul... alors ca reste entre nous ok? .

Sans attendre de réponses Jacques se retourne:
-  Tu viens Timothée mon petit, on va partir.

(Note: Je parles toujours en français en public, jamais en démoniaque pour ne pas risquer d'attirer l'attention).

Matthieu a écrit:

Details:[3d6 (4 3 2)]
Avec 3 en baratin ça me fait un score de 5. Après je sais pas si mon score de présence élevé aide.

Un couple de vieux bien habillés, avec un bagage à main Louis Vuitton par terre à côté de la chaise, te regardent l'air un peu interloqués, puis lèvent les yeux vers votre table.

Pascal a écrit:

( Al-Ber se tourne en regardant un peu partout à la recherche de Orchus) ... mais il est ou ce p'tit con... ( et le voyant à la table d'à coté...)

D'une voix pleine d'amour paternel et avec un sourire amical:
- Timothée mon petit, vient finir ton petit déjeuner tu vas être en retard à l'école... et cesse donc d'importuner cette gentille dame... allons allons revient t'assoir, nos amis vont bientôt partir et tu vas encore pleurer que tu n'auras pas passer de temps avec eux avant l'école ... ( s'adressant aux autres en aparthé à voix basse)... méfiez vous du p'tit merdeux, il n'a pas l'air comme ça mais il est fourbe, toujours à faire des conneries et attirer l'attention sur nous. La discrétion c'est pas son fort...

Sans attendre de réponses Jacques se retourne:
-  Tu viens Timothée mon petit, on va partir.

En rangeant ton carnet et ton stylo, tu sens une boule de tissu froissé dans ta poche, que tu extrais avec précaution : un slip Petit Bateau taille 10, avec une légère trace de pneu. Les vieux te regardent. Vous sentez qu'il est le moment de partir ; d'ailleurs certains ont déjà déserté les lieux...

Pascal a écrit:

(Note: Je parles toujours en français en public, jamais en démoniaque pour ne pas risquer d'attirer l'attention).

ça va de soi, Principe de discrétion oblige. Je considère que tout le monde fait évidemment de même, sauf mention expresse.

- Timothée, cesse d'importuner les gens et de raconter des âneries sinon je te ramène à l'institut voir les grands messieurs habillés de blancs et ils vont te remettre ta chemise avec les bras attachés dans le dos.

Je rejoins la table où se trouve Timothée et m'adresse aux couple:
- Monsieur Madame, je vous pris de bien vouloir excuser ma pupille, il est très perturbé depuis l'incarcération de son père après qu'il ait assassiné sa mère. N'ayant plus de parents connus il a été confié au bon soins de l'état et je suis son tuteur. Comme vous vous en douté, une telle tragédie ne peut que provoquer des troubles sévères chez un enfant de son âge. Il l'exprime en inventant des histoires rocambolesques pour attirer l'attention et glaner un peu d'amour et de compassion chez les adultes. Vous avez surement dü lui donner l'image d'un Père et d'une Mère aimante, peut être l'avez regardé amicalement et cela l'a encouragé...

Prenant Timothée par la main (s'il n'est pas déjà parti):
- Allez vient mon petit il est temps de te calmer et de rentrer.

Pascal a écrit:

- Timothée, cesse d'importuner les gens et de raconter des âneries sinon je te ramène à l'institut voir les grands messieurs habillés de blancs et ils vont te remettre ta chemise avec les bras attachés dans le dos.

Je rejoins la table où se trouve Timothée et m'adresse aux couple:
- Monsieur Madame, je vous pris de bien vouloir excuser ma pupille, il est très perturbé depuis l'incarcération de son père après qu'il ait assassiné sa mère. N'ayant plus de parents connus il a été confié au bon soins de l'état et je suis son tuteur. Comme vous vous en douté, une telle tragédie ne peut que provoquer des troubles sévères chez un enfant de son âge. Il l'exprime en inventant des histoires rocambolesques pour attirer l'attention et glaner un peu d'amour et de compassion chez les adultes. Vous avez surement dü lui donner l'image d'un Père et d'une Mère aimante, peut être l'avez regardé amicalement et cela l'a encouragé...

La femme : "Euuuuuh..." les yeux écarquillés (erreur 404).
L'homme : "Ah ! Bah merde ! Pauvre gosse, je me disais bien aussi... Vous voulez un conseil ? Nous on filait du calva à nos gosses quand ils ne voulaient pas se calmer. Résultat garanti ! Mais attention, hein, deux cuillères à soupe, à son âge, pas plus !" *clin d'oeil compatissant*

Pascal a écrit:

Prenant Timothée par la main (s'il n'est pas déjà parti):
- Allez vient mon petit il est temps de te calmer et de rentrer.

Vous vous éloignez donc, un Jacques très digne, flanqué d'un Timothée mi-chialard, mi-mort de rire...

"Bon je propose que certains d'entre nous interrogent les voisins en prétendants être de la famille ou des amis de la famille. Je me porte volontaire pour accompagner, pour une raison étrange les humains font apparemment plus confiance quand on est accompagné par un enfant, sans doute une histoire d'hormone, les mortels sont bourrés de ces trucs là. "

- Timothée, pourquoi ne profiterais tu pas de ta condition enfantine pour aller interroger les gamins là bas? en tant qu'enfant ils te parleront plus facilement je penses. Et puis les gamins ca écoute tout ce que se disent les parents, ca peut être une bonne source d'information. De notre coté, en effet, pourquoi ne pas interroger les voisins et fouillez l'appartement

Puis je me précipite pour tenir la porte à l'ado et ses paquets (ce qui me permet d'en profiter pour tenir la porte ouerte pour les copains - y a un digicode?)

Chez moi, j'ai troqué mon t-shirt (noir) Prong contre un t-shirt (noir) Body Count. Les plus observateurs de mes compagnons auront également pu remarquer un léger renflement au niveau d'une poche latérale de mon manteau, approximativement de la taille d'un sandwich-baguette (mais c'est évidemment autre chose, le pain n'étant pas assez "redondant"...).
J'acquiesce d'un léger hochement de tête aux idées du gamin et de son garde-chiourme. Pour ma part, j'ai eu l'occasion d'expliquer avant notre arrivée sur les lieux ce que je comptais faire et ne pas faire :
- J'ai un talent qui peut s'avérer très utile dans le cadre d'une fouille de l'appart', donc je préférerais y monter directement. L'interrogatoire de proximité, c'est moins ma spécialité ; du moins dans sa version cordiale et indolore.
Aussi, j'approche d'un pas presque nonchalant de l'entrée de l'immeuble, espérant que nous n'éveillerons pas la suspicion de la concierge.

Orchus émit un grognement, il savait que la suggestion d'Al-Ber était une bonne idée mais que le bon dieu l'emporte si il l'admettait publiquement. Il approcha le groupe d'enfants qui jouait skate board.

"d'abord se faire accepter par la meute, pensa-t-il, avec mon équilibre et mon agilité (sur)naturelle, je devrais réussir à leur en mettre plein la vue".
"Salut, je peux essayer ton skate ?" demanda Timothé à l'un d'eux avec son plus grand sourire.

Des signes de présence policière ou de personnes qui semblent surveiller l'endroit (comme la youyou power force en pas discret) ?

Olivier a écrit:

Des signes de présence policière ou de personnes qui semblent surveiller l'endroit (comme la youyou power force en pas discret) ?

[un jet de PE pour le premier, de 6e sens pour le deuxième ?]

Matthieu a écrit:

"d'abord se faire accepter par la meute, pensa-t-il, avec mon équilibre et mon agilité (sur)naturelle, je devrais réussir à leur en mettre plein la vue".
"Salut, je peux essayer ton skate ?" demanda Timothé à l'un d'eux avec son plus grand sourire.

[un jet de Baratin ?]

Pascal a écrit:

Puis je me précipite pour tenir la porte à l'ado et ses paquets (ce qui me permet d'en profiter pour tenir la porte ouerte pour les copains - y a un digicode?)

Digicode + interphone ; cassé...

Nico a écrit:

Aussi, j'approche d'un pas presque nonchalant de l'entrée de l'immeuble, espérant que nous n'éveillerons pas la suspicion de la concierge.

...qui t'accorde à peine un coup d'œil alors qu'elle décharge le panier du facteur, enveloppes, colis etc. Une femme entre deux âges, un léger embonpoint, les cheveux courts. Jacques te devance, dans un élan de sollicitude, retient la lourde porte vitrée pour le jeune homme qui s'introduit dans le hall, en le remerciant d'un signe de tête. Lui attire un peu plus l'attention, vu sa dégaine d'inspecteur des impôts.

Vous apercevez un large escalier, et aussi un petit ascenseur, 2 personnes max - et fonctionnel ! Miracle

François a écrit:

Olivier a écrit:

Des signes de présence policière ou de personnes qui semblent surveiller l'endroit (comme la youyou power force en pas discret) ?

[un jet de PE pour le premier, de 6e sens pour le deuxième ?]

Matthieu a écrit:

"d'abord se faire accepter par la meute, pensa-t-il, avec mon équilibre et mon agilité (sur)naturelle, je devrais réussir à leur en mettre plein la vue".
"Salut, je peux essayer ton skate ?" demanda Timothé à l'un d'eux avec son plus grand sourire.

[un jet de Baratin ?]

Pascal a écrit:

Puis je me précipite pour tenir la porte à l'ado et ses paquets (ce qui me permet d'en profiter pour tenir la porte ouerte pour les copains - y a un digicode?)

Digicode + interphone ; cassé...

Nico a écrit:

Aussi, j'approche d'un pas presque nonchalant de l'entrée de l'immeuble, espérant que nous n'éveillerons pas la suspicion de la concierge.

...qui t'accorde à peine un coup d'œil alors qu'elle décharge le panier du facteur, enveloppes, colis etc. Une femme entre deux âges, un léger embonpoint, les cheveux courts. Jacques te devance, dans un élan de sollicitude, retient la lourde porte vitrée pour le jeune homme qui s'introduit dans le hall, en le remerciant d'un signe de tête. Lui attire un peu plus l'attention, vu sa dégaine d'inspecteur des impôts.

# 13
Details:[3d6 (3 6 4)]

Soit un résultat de 6.

Matthieu a écrit:

Soit un résultat de 6.

6 gamins, entre 7 et 12 ans, te regardent arriver en rigolant un peu "Mais tu viens d'où, toi, tu t'es perdu ?" "Elles sont belles, tes Nike..."

Rapidement, avec quelques répliques bien senties (cassé... !) tu te fais respecter, au moins en première impression ; tu convaincs un d'entre eux de te prêter son skate quelques secondes - ils sont persuadés que tu vas te ramasser lamentablement, et rigolent sous cape. Tu te lances alors dans une série de figures sur place : retourné/sauté ; en équilibre sur la pointe du skate, lui-même en équilibre précaire sur le bord du bord du trottoir ; 360° et inversion de sens ... *clac clac clac* hop! *clac clac* prend la pose *clac clac clac* saute et retombe sur ses pieds.

"PUTAIN ! Trop fort ! Comment tu fais ça !?" Quelques-uns admirent ouvertement ta maîtrise de la planche à roulette, un ou deux autres s'essaient plus ou moins adroitement, mais avec beaucoup moins d'aisance...

Tu en profites pour engager la conversation avec les plus réceptifs, c'est le moment de poser tes questions...

Je me dirige résolument vers l'escalier (autant faire croire qu'on ne va pas au même endroit) et me farcit les huit étages en marchant normalement, et en saluant sobrement quiconque je pourrais croiser.

"Mes vieux ont décidé de s'installer dans le coin, c'est vrai qu'il y a un type qui s'est fait décapité ? Vous le connaissiez ?"

Timothé interroge sa nouvelle bande en essayant d'avoir un maximum de détails sur la victime, les circonstances du meurtre et, si possible, des informations sur le tueur et les noms d'éventuels témoins directs.